Je suis très peu fan des réseaux sociaux en général, mais j’avoue que j’adore Twitter. Même si je n’en fais pas un usage industriel comme peuvent le faire certains (je suis environ 280 personnes), j’y passe assez régulièrement, je discute avec plein de gens, une bonne part de ma veille technologique est dessus, leur application iPad et leurs versions web sont bien faites.
Il y a quelque temps, un tweet « coup de gueule » de ma part a suscité l’inquiétude et la surprise de certaines personnes qui me suivent (du genre, « je vais faire de la merde sur un site en production, et tant pis »).
Comme ces personnes ne manquent pas de bienveillance, elles se sont inquiétées que je ne fasse pas de bêtise (professionnelle) et m’ont donné de bons conseils. Si si, il n’y a pas que des terroristes pédonazi-philes sur le net.
Bien évidemment, en 140 caractères, on ne peut expliquer que le coup de gueule en question est très relatif : il n’a aucun impact sur un site en production, il ne gênera jamais la moindre personne. C’est juste une gueulante défouloir.
Oui, mes paroles dépassent parfois mes pensées. Et même si des fois, comme n’importe qui, j’aimerais mettre du poil à gratter dans le slip de quelqu’un qui me casse les pieds, vous vous doutez bien que je ne le fais jamais à titre professionnel (parce qu’à titre personnel, ça peut se discuter… mais non, je ne l’ai jamais fait non plus, vous croyez quoi !).
Comme disait ce cher Benjamin Franklin :
Il ne faut pas prendre pour argent comptant tout ce qu’on lit sur Twitter.
Bien entendu, il y environ 0% du contexte de chaque minuscule phrase postée, ce qui fait que des fois, 140 petits caractères déchainent les passions, au-delà du raisonnable et de l’objectivité. Et devinez quoi ? Ça n’empêche, j’adore Twitter.
Alors comme ça, ça t'amuse de nous inquiéter? Bougre de sacripant